Si No Puedo Amarla
Música de Alan Menken
Letra de Tim Rice
Adaptación del texto al Castellano de Juan Pedro de Aguilar
BESTIA
En mi deforme faz
Ningún rastro jamás
De algo que pudiera ser amable,
Tengo un aspecto cruel
No puedo huir de él,
Hay luz, más dentro oscuridad culpable
Solo,
Angustiado,
Olvidado
Sin haber amado,
Imploro
Despreciado
Condenado
Nunca perdonado.
No existe belleza,
No existe riqueza
Que me hagan cambiar, si no puedo amarla
Nada ha de ayudarme,
Nadie va a enseñarme,
Como he de ganar
Su corazón también
Si no es ella,
¿No habrá quien?
Tiempo atrás debí saber
Todo lo que pude ser
Si yo hubiera sido bondadoso.
No hay pena en el mundo
Ni mal tan profundo
Como mi pesar si no puedo amarla.
Nada importaría,
Nada esperaría,
Si no hay amor que me libere al fin,
Mas si es así
Y no puedo amar
¡Que el mundo sea sin mí!
martes, 11 de agosto de 2009
sábado, 25 de julio de 2009
Devuelta por aquí
Aquí yo, luego de un tiempo de no escribir... Les dejo tres canciones de la magnífica cantante francesa Edith Piaf.
L'accordeoniste
La fille de joie est belle
Au coin de la rue là-bas
Elle a une clientèle
Qui lui remplit son bas
Quand son boulot s'achève
Elle s'en va à son tour
Chercher un peu de rêve
Dans un bal du faubourg
Son homme est un artiste
C'est un drôle de petit gars
Un accordéoniste
Qui sait jouer la java
Elle écoute la java
Mais elle ne la danse pas
Elle ne regarde même pas la piste
Et ses yeux amoureux
Suivent le jeu nerveux
Et les doigts secs et longs de l'artiste
Ça lui rentre dans la peau
Par le bas, par le haut
Elle a envie de chanter
C'est physique
Tout son être est tendu
Son souffle est suspendu
C'est une vraie tordue de la musique
La fille de joie est triste
Au coin de la rue là-bas
Son accordéoniste
Il est parti soldat
Quand y reviendra de la guerre
Ils prendront une maison
Elle sera la caissière
Et lui, sera le patron
Que la vie sera belle
Ils seront de vrais pachas
Et tous les soirs pour elle
Il jouera la java
Elle écoute la java
Qu'elle fredonne tout bas
Elle revoit son accordéoniste
Et ses yeux amoureux
Suivent le jeu nerveux
Et les doigts secs et longs de l'artiste
Ça lui rentre dans la peau
Par le bas, par le haut
Elle a envie de chanter
C'est physique
Tout son être est tendu
Son souffle est suspendu
C'est une vraie tordue de la musique
La fille de joie est seule
Au coin de la rue là-bas
Les filles qui font la gueule
Les hommes n'en veulent pas
Et tant pis si elle crève
Son homme ne reviendra plus
Adieux tous les beaux rêves
Sa vie, elle est foutue
Pourtant ses jambes tristes
L'emmènent au boui-boui
Où y a un autre artiste
Qui joue toute la nuit
Elle écoute la java......
elle entend la java...
elle a fermé les yeux...
et les doigts secs et nerveux ...
Ça lui rentre dans la peau
Par le bas, par le haut
Elle a envie de gueuler
C'est physique
Alors pour oublier
Elle s'est mise à danser, à tourner
Au son de la musique......
ARRÊTEZ !
Arrêtez la musique ! ...
Au coin de la rue là-bas
Elle a une clientèle
Qui lui remplit son bas
Quand son boulot s'achève
Elle s'en va à son tour
Chercher un peu de rêve
Dans un bal du faubourg
Son homme est un artiste
C'est un drôle de petit gars
Un accordéoniste
Qui sait jouer la java
Elle écoute la java
Mais elle ne la danse pas
Elle ne regarde même pas la piste
Et ses yeux amoureux
Suivent le jeu nerveux
Et les doigts secs et longs de l'artiste
Ça lui rentre dans la peau
Par le bas, par le haut
Elle a envie de chanter
C'est physique
Tout son être est tendu
Son souffle est suspendu
C'est une vraie tordue de la musique
La fille de joie est triste
Au coin de la rue là-bas
Son accordéoniste
Il est parti soldat
Quand y reviendra de la guerre
Ils prendront une maison
Elle sera la caissière
Et lui, sera le patron
Que la vie sera belle
Ils seront de vrais pachas
Et tous les soirs pour elle
Il jouera la java
Elle écoute la java
Qu'elle fredonne tout bas
Elle revoit son accordéoniste
Et ses yeux amoureux
Suivent le jeu nerveux
Et les doigts secs et longs de l'artiste
Ça lui rentre dans la peau
Par le bas, par le haut
Elle a envie de chanter
C'est physique
Tout son être est tendu
Son souffle est suspendu
C'est une vraie tordue de la musique
La fille de joie est seule
Au coin de la rue là-bas
Les filles qui font la gueule
Les hommes n'en veulent pas
Et tant pis si elle crève
Son homme ne reviendra plus
Adieux tous les beaux rêves
Sa vie, elle est foutue
Pourtant ses jambes tristes
L'emmènent au boui-boui
Où y a un autre artiste
Qui joue toute la nuit
Elle écoute la java......
elle entend la java...
elle a fermé les yeux...
et les doigts secs et nerveux ...
Ça lui rentre dans la peau
Par le bas, par le haut
Elle a envie de gueuler
C'est physique
Alors pour oublier
Elle s'est mise à danser, à tourner
Au son de la musique......
ARRÊTEZ !
Arrêtez la musique ! ...
A quoi ça sert l'amour
A quoi ça sert l'amour?
On raconte toujours
Des histoires incensées,
A quoi ça sert d'aimer?
L'amour ne s'explique pas,
C'est une chose comme ça,
Qui vient on ne sait d'où
Et vous prend tout à coup
Moi j'ai entendu dire
Que l'amour fait souffrir
Que l'amour fait pleurer
A quoi ça sert d'aimer?
L'amour ça sert à quoi?
A nous donner d'la joie
Avec des larmes aux yeux
C'est triste et merveilleux
Pourtant on dit souvent
Qu'l'amour c'est décevant,
Qu'il y en a un sur deux
Qui n'est jamais heureux
Même quand on l'a perdu,
L'amour qu'on a connu
Vous laisse un goût de miel
L'amour c'est éternel
Tout ça c'est très joli,
Mais quand tout est fini
Il ne vous reste rien
Qu'un immense chagrin
Tout ce qui maintenant
Te semble déchirant
Demain sera pour toi
Un souvenir de joie
En somme si j'ai compris
Sans amour dans la vie,
Sans ces joies, ces chagrins
On a vécu pour rien
Mais oui, regarde moi,
A chaque fois j'y crois
Et j'y croirai toujours
Ca sert à ça l'amour
Mais toi t'es le dernier,
Mais toi t'es le premier,
Avant toi y avait rien,
Avec toi je suis bien
C'est toi que je voulais,
C'est toi qu'il me fallait,
Toi que j'aimerai toujours,
Ca sert à ça l'amour.
On raconte toujours
Des histoires incensées,
A quoi ça sert d'aimer?
L'amour ne s'explique pas,
C'est une chose comme ça,
Qui vient on ne sait d'où
Et vous prend tout à coup
Moi j'ai entendu dire
Que l'amour fait souffrir
Que l'amour fait pleurer
A quoi ça sert d'aimer?
L'amour ça sert à quoi?
A nous donner d'la joie
Avec des larmes aux yeux
C'est triste et merveilleux
Pourtant on dit souvent
Qu'l'amour c'est décevant,
Qu'il y en a un sur deux
Qui n'est jamais heureux
Même quand on l'a perdu,
L'amour qu'on a connu
Vous laisse un goût de miel
L'amour c'est éternel
Tout ça c'est très joli,
Mais quand tout est fini
Il ne vous reste rien
Qu'un immense chagrin
Tout ce qui maintenant
Te semble déchirant
Demain sera pour toi
Un souvenir de joie
En somme si j'ai compris
Sans amour dans la vie,
Sans ces joies, ces chagrins
On a vécu pour rien
Mais oui, regarde moi,
A chaque fois j'y crois
Et j'y croirai toujours
Ca sert à ça l'amour
Mais toi t'es le dernier,
Mais toi t'es le premier,
Avant toi y avait rien,
Avec toi je suis bien
C'est toi que je voulais,
C'est toi qu'il me fallait,
Toi que j'aimerai toujours,
Ca sert à ça l'amour.
Non! Je ne regrette rien
Non, rien de rien,
Non, je ne regrette rien,
Ni le bien qu'on m'a fait,
Ni le mal, tout ça m'est bien égal.
Non, rien de rien,
Non, je ne regrette rien,
C'est payé, balayé, oublié,
Je me fous du passé.
Avec mes souvenirs,
j'ai allumé le feu,
Mes chagrins, mes plaisirs,
je n'ai plus besoin d'eux.
Balayées les amours,
avec leurs trémolos,
Balayées pour toujours,
je repars à zéro.
Non, rien de rien,
Non, je ne regrette rien,
Ni le bien qu'on m'a fait,
Ni le mal, tout ça m'est bien égal.
Non, rien de rien,
Non, je ne regrette rien,
Car ma vie car mes joies,
Aujourd'hui, ça commence avec toi.
Non, je ne regrette rien,
Ni le bien qu'on m'a fait,
Ni le mal, tout ça m'est bien égal.
Non, rien de rien,
Non, je ne regrette rien,
C'est payé, balayé, oublié,
Je me fous du passé.
Avec mes souvenirs,
j'ai allumé le feu,
Mes chagrins, mes plaisirs,
je n'ai plus besoin d'eux.
Balayées les amours,
avec leurs trémolos,
Balayées pour toujours,
je repars à zéro.
Non, rien de rien,
Non, je ne regrette rien,
Ni le bien qu'on m'a fait,
Ni le mal, tout ça m'est bien égal.
Non, rien de rien,
Non, je ne regrette rien,
Car ma vie car mes joies,
Aujourd'hui, ça commence avec toi.
miércoles, 25 de marzo de 2009
Sólo eso pido yo
RÁUL
Oh, Christine...
Basta de misterios,
Olvida tu temor.
Ya nadie va a dañarte
Llegué para cuidarte.
Deja que te libre,
Tu llanto has de calmar.
Yo estoy aquí contigo.
Te guío y te cuido.
CHRISTINE
Di que me amas en cualquier momento.
Traéme a la vida con tu voz.
¡Que me quieres, que me necesitas!
CHRISTINE
Júrame que todo es verdad.
Sólo eso pido yo.
RAÚL
Quiero protegerte,
Quiero ser tu luz.
Aquí ya estas a salvo,
Sin miedo, a mi cuidado.
CHRISTINE
Libertad deseo,
No más oscuridad.
Y tú siempre conmigo.
La vida ya contigo.
RAÚL
Pues di que quieres compartir tu vida.
Déjame borrar tu soledad.
¡Que me quieres, que me necesitas!
Donde vayas siempre iré yo.
Christine, Sólo eso pido yo.
CHRISTINE
Di que quieres compartir tu vida.
Dímelo y así te seguiré.
RAÚL Y CHRISTINE
Me darás tus noches y tus días.
CHRISTINE
Di que me amas...
RAÚL
Yo sí, mi amor.
RAÚL Y CHRISTINE
Dilo.
Sólo eso pido yo.
(Se besan)
Donde vayas siempre iré yo.
RAÚL Y CHRISTINE
Dilo, sólo eso pido yo.
CHRISTINE
Debo ir.
No saben dónde estoy.
Espérame, Raúl.
RAÚL
Christine, te amo.
CHRISTINE
Llama a tus caballos.
Espérame al salir.
RAÚL
¡Y pronto tú conmigo!
CHRISTINE
Me guías, yo te sigo.
FANTASMA
A tu voz di alas
Con mi gran amor.
Y así me lo devuelves.
Me engañas y traicionas.
Él tenía que amarte
Al oír tu voz, Christine,
Christine...
RAÚL Y CHRISTINE
Di que quieres compartir tu vida.
Dímelo y yo te seguiré.
Me darás tus noches y tus días.
FANTASMA
Te maldigo yo por traicionar
Lo que el fantasma te pidió. ¡Ve!
(Con un gesto final de venganza hacia el candelabro)
¡Vete!
RAÚL
¡Christine!
(Con un relámpago cegador el candelabro cae sobre la escena a los pies de Christine.)
miércoles, 18 de febrero de 2009
Decir amigo, Joan Manuel Serrat
Decir amigo es decir juegos, escuela, calle y niñez. Gorriones presos de un mismo viento tras un olor de mujer. Decir amigo es decir vino, guitarra, trago y canción furcias y broncas. Y en Los Tres Pinos una novia pa' los dos. Decir amigo me trae del barrio luz de domingo y deja en los labios gusto a mistela y a natillas con canela. Decir amigo es decir aula, laboratorio y bedel. Billar y cine. Siesta en Las Ramblas y alemanas al clavel. Decir amigo es decir tienda, botas, charnaque y fusil. Y los domingos, a pelear hembras entre Salou y Cambrils. Decir amigo no se hace extraño cuando se tiene sed de veinte años y pocas 'pelas'. Y el alma sin mediasuelas. Decir amigo es decir lejos y antes fue decir adiós. Y ayer y siempre lo tuyo nuestro y lo mío de los dos. Decir amigo se me figura que decir amigo es decir ternura. Dios y mi canto saben a quien nombro tanto.
martes, 17 de febrero de 2009
El hombre del piano
Esta es la historia de un sábado,
de no importa que mes,
y de un hombre sentado al piano
de no importa que viejo café.
Toma el vaso y le tiemblan las manos,
apestando entre humo y sudor,
y se agarra a su tabla de naufrago,
volviendo a su eterna canción.
Toca otra vez, viejo perdedor,
haces que me sienta bien,
es tan triste la noche en que tu canción
sabe a derrota y a miel.
Cada vez que el espejo en la pared
le devuelve más joven la piel,
se le encienden los ojos y su niñez
viene a tocar junto a él.
Pero siempre hay borrachos con babas,
que le recuerdan quien fue,
el más joven maestro al piano
vencido por una mujer.
Ella siempre temió echar raíces,
que pudieran sus alas cortar
y en las jaula metida, la vida se le iba
y quizo sus fuerzas probar.
No lamenta que de malos pasos,
aunque nunca desea su mal,
pero a ratos con furia golpea el piano
y hay algunos que le han visto llorar.
Toca otra vez, viejo perdedor,
haces que me sienta bien,
es tan triste la noche en que tu canción
sabe a derrota y a miel.
El micrófono huele a cerveza
y el calor se podría tocar,
solitarios oscuros, buscando pareja,
apurándose un sábado más.
Hay un hombre aferrado a un piano
la emoción empapada en alcohol,
y una voz que le dice: "pareces cansado,
y aún, no ha salido ni el sol".
Toca otra vez, viejo perdedor,
haces que me sienta bien,
es tan triste la noche en que tu canción
sabe a derrota y a miel.
lunes, 16 de febrero de 2009
Biografía de Jacqueline Du Pré
Nacida en una familia culta, Jacqueline du Pré era la más joven de los niños. Ella tenía 4 años cuando escuchó el violoncello por primera vez, en la radio. A partir de ese instante el sonido del instrumento jamas la dejaría. Ella comenzó a tomar lecciones de música con su madre Iris du Pré. Dos años más tarde, empezaría a recibir lecciones en Londres, compitiendo musicalmente con su hermana. A los diez años gana un premio en una competición internacional, y a los doce realiza su primer concierto en la BBC de Londres.
Estudia con William Pleeth en la Guildhall School of Music and Drama en Londres, con Paul Tortelier en París, con Rostropovich en Rusia y con Casals en Suiza.
Durante toda su carrera, du Pré tocaría junto con orquestas y solistas prestigiosos. En particular su interpretación del concierto para cello de Elgar junto a la Orquesta Sinfónica de Londres bajo la dirección de John Barbirolli en 1965. Para esta interpretación ella usó un Stradivarius denominado Davidov de 1712 que le fue ofrecido por su madrina y admiradora Ismena Holland.
Su amistad con los músicos Itzhak Perlman, Zubin Mehta y Pinchas Zukerman y su matrimonio con Daniel Barenboim, inspiró un filme de Christopher Nupen. Los cinco se denominaban a ellos mismos como la mafia musicale juive. En la navidad de 1966, Jaqueline conoce a Daniel Barenboim, un año después se casan. Ella tuvo que convertirse al judaísmo para casarse. Su matrimonio fue una de las relaciones más fructuosas de la historia musical comparándose ciertamente con la de Clara y Robert Schumann. Se pueden constatar en los numerosos conciertos que dieron con Barenboim al piano o en la dirección orquestal.
La hermana de Jacqueline, Hilary, se casó con el director orquestal Christopher "Kiffer" Finzi, con el que Jacqueline tuvo una relación sentimental. Según Hilary y su hermano Piers, en su libro Un genio en la familia, del cual Anand Tucker se basó para realizar el filme Hilary y Jackie. Esta relación fue llevada con el consentimiento de Hilary, a manera de poder ayudar a Jacqueline, que en ese entonces estaba deprimida y tenía comportamientos suicidas. En 1999, los hijos de Kiffer y Hilary criticaron públicamente el comportamiento de su madre y presentaron una versión diferente a los hechos, según la cual su padre sedujo a su tía en un momento vulnerable con el fin de adular su propio ego.
En 1971, las capacidades de interpretación de Jacqueline mermaron irreversiblemente cuando la artista empezó a perder la sensibilidad y movilidad de sus dedos teniendo que detener abruptamente su carrera. Afectada por la esclerosis múltiple, enfermedad que la conduciría a su muerte en Londres el 19 de octubre de 1987 a la edad de 42 años. Barenboim estaba con ella cuando murió. Dejó su violoncello Davidov Stradivarius a Yo Yo Ma.
En el transcurso de los últimos años de la vida de Jacqueline, Barenboim se instaló en París con la pianista Elena Baskirova con quien se casó en 1988 y tuvieron dos hijos David y Michael.
Estudia con William Pleeth en la Guildhall School of Music and Drama en Londres, con Paul Tortelier en París, con Rostropovich en Rusia y con Casals en Suiza.
Durante toda su carrera, du Pré tocaría junto con orquestas y solistas prestigiosos. En particular su interpretación del concierto para cello de Elgar junto a la Orquesta Sinfónica de Londres bajo la dirección de John Barbirolli en 1965. Para esta interpretación ella usó un Stradivarius denominado Davidov de 1712 que le fue ofrecido por su madrina y admiradora Ismena Holland.
Su amistad con los músicos Itzhak Perlman, Zubin Mehta y Pinchas Zukerman y su matrimonio con Daniel Barenboim, inspiró un filme de Christopher Nupen. Los cinco se denominaban a ellos mismos como la mafia musicale juive. En la navidad de 1966, Jaqueline conoce a Daniel Barenboim, un año después se casan. Ella tuvo que convertirse al judaísmo para casarse. Su matrimonio fue una de las relaciones más fructuosas de la historia musical comparándose ciertamente con la de Clara y Robert Schumann. Se pueden constatar en los numerosos conciertos que dieron con Barenboim al piano o en la dirección orquestal.
La hermana de Jacqueline, Hilary, se casó con el director orquestal Christopher "Kiffer" Finzi, con el que Jacqueline tuvo una relación sentimental. Según Hilary y su hermano Piers, en su libro Un genio en la familia, del cual Anand Tucker se basó para realizar el filme Hilary y Jackie. Esta relación fue llevada con el consentimiento de Hilary, a manera de poder ayudar a Jacqueline, que en ese entonces estaba deprimida y tenía comportamientos suicidas. En 1999, los hijos de Kiffer y Hilary criticaron públicamente el comportamiento de su madre y presentaron una versión diferente a los hechos, según la cual su padre sedujo a su tía en un momento vulnerable con el fin de adular su propio ego.
En 1971, las capacidades de interpretación de Jacqueline mermaron irreversiblemente cuando la artista empezó a perder la sensibilidad y movilidad de sus dedos teniendo que detener abruptamente su carrera. Afectada por la esclerosis múltiple, enfermedad que la conduciría a su muerte en Londres el 19 de octubre de 1987 a la edad de 42 años. Barenboim estaba con ella cuando murió. Dejó su violoncello Davidov Stradivarius a Yo Yo Ma.
En el transcurso de los últimos años de la vida de Jacqueline, Barenboim se instaló en París con la pianista Elena Baskirova con quien se casó en 1988 y tuvieron dos hijos David y Michael.
Memory
Midnight
Not a sound from the pavement
Has the moon lost her memory?
She is smiling alone
In the lamplight, the withered leaves collect at my feet
And the wind begins to moan
Memory
All alone in the moonlight
I can smile at the old days
I was beautiful then
I remember the time I knew what happiness was
Let the memory live again
Every streetlamp seems to beat a fatalistic warning
Someone mutters, and a streetlamp gutters,
And soon it will be morning.
Daylight
I must wait for the sunrise
And I mustn't give in.
When the dawn comes, tonight will be a memory too
And a new day will begin
Burnt out ends of smokey days
The stale cold smell of morning
The streetlamp dies, another night is over
Another day is dawning...
Touch me!
It's so easy to leave me
All alone with the memory
Of my days in the sun...
If you touch me, you'll understand what happiness is
Look! A new day has begun
domingo, 15 de febrero de 2009
No importa la distancia
Una vez soñe
Que en algun lugar
Yo podria ser alguien
Si lograse amar
Y tambien soñe
Que si he de triunfar
Mi orgullo aferrado
Tendre que superar
Un dia llegare
No importa la distancia
El rumbo encontrare
Y tendre valor
Paso a paso ire
Y persistire
A cualquier distancia
Yo el amor alcanzare
Una vez te vi
Era todo irreal
Y aunque fuese un sueno
Te sentia junto a mi
Se que estas ahi
Que te encontrare
Aunque tarde una vida
Yo jamas renunciare
Un dia llegare.....
Mas alla de toda gloria
Del orgullo y el valor
El poder de un heroe
Esta en su corazon
Un dia llegare
No importa la distancia
Junto a ti estare
Con tu resplandor
Paso a paso ire
Y persistire
A cualquier distancia
Yo tu vida y tu amor tendre.
No llores si me amas
No llores si me amas,
Si conocieras el don de Dios y lo que es el cielo!
Si pudieras oír el cántico de los ángeles
y verme en medio de ellos!
Si pudieras ver desarrollarse ante tus ojos; los horizontes, los
campos
y los nuevos senderos que atravieso!
Si por un instante pudieras contemplar como yo,
la belleza ante la cual las bellezas palidecen!
Cómo!...¿Tu me has visto,
me has amado en el país de las sombras
y no te resignas a verme y
amarme en el país de las inmutables realidades?
Créeme.
Cuando la muerte venga a romper las ligaduras
como ha roto las que a mí me encadenaban,
cuando llegue un día que Dios ha fijado y conoce,
y tu alma venga a este cielo en que te ha precedido la mía,
ese día volverás a verme,
sentirás que te sigo amando,
que te amé, y encontrarás mi corazón
con todas sus ternuras purificadas.
Volverás a verme en transfiguración, en éxtasis, feliz!
ya no esperando la muerte, sino avanzando contigo,que te llevaré de la mano por
senderos nuevos de Luz...y de Vida...
Enjuga tu llanto y no llores si me amas!
San Agustín
El Edén
Es la esencia de una humanidad
Que no vive, pero viva esta.
Esperanzas de un tiempo que fue.
Añoranzas con color pastel.
Viejos tules que te envolverán,
Junto a espejos que reflejaran
Las neblinas de la eternidad,
Que te brindan su inmortalidad.
Podrás compartir algo celestial,
Y el placer que da no saber de hoy,
Que las horas van, sin haber reloj,
Que la noche esta muy llena de sol,
Bienvenidos... a nuestro Edén.
Que no vive, pero viva esta.
Esperanzas de un tiempo que fue.
Añoranzas con color pastel.
Viejos tules que te envolverán,
Junto a espejos que reflejaran
Las neblinas de la eternidad,
Que te brindan su inmortalidad.
Podrás compartir algo celestial,
Y el placer que da no saber de hoy,
Que las horas van, sin haber reloj,
Que la noche esta muy llena de sol,
Bienvenidos... a nuestro Edén.
16/02/09
Tendrá el mar la imagen de quién lo atraviesa?
Tendrá acaso el mar sonidos que sólo él recuerda?
Sabrá del dolor de quienes su vida en él dejan?
Tan inmenso, y tan sólo él está!
Quién llorará, acaso, por una tormenta?
De dónde vendrán las olas que a él lo desvelan?
Podrá entender los sueños que inspira su fuerza?
Tan inmenso, y tan sólo él está!
Tal vez, al partir, no vuelva yo aquí!
Y el mar, esta vez, me reclame!
Arriesgo morir, al ir hacia a ti!
Mas sin ti, para mí nada vale!
Sabemos que un día, quizá,
a embarcar no vuelva, y el mar dirá:
El precio es así! Un día reír!
Y otro llorar por amarme!
Tendrá el mar la imagen de quién lo atraviesa? Tendrá el mar… !
Tendrá acaso el mar sonidos que sólo él recuerda?
Sabrá del dolor de quienes su vida en él dejan?
Tan inmenso, y tan sólo él está!
Podrá compartir con alguien de tanta riqueza?
A quién contará secretos que guardan sus penas?
Lo mismo cantar a dúo con una sirena!
Tan inmenso, y tan sólo él está!
Tan inmenso y tan sólo, tan sólo él está!
Tendrá acaso el mar sonidos que sólo él recuerda?
Sabrá del dolor de quienes su vida en él dejan?
Tan inmenso, y tan sólo él está!
Quién llorará, acaso, por una tormenta?
De dónde vendrán las olas que a él lo desvelan?
Podrá entender los sueños que inspira su fuerza?
Tan inmenso, y tan sólo él está!
Tal vez, al partir, no vuelva yo aquí!
Y el mar, esta vez, me reclame!
Arriesgo morir, al ir hacia a ti!
Mas sin ti, para mí nada vale!
Sabemos que un día, quizá,
a embarcar no vuelva, y el mar dirá:
El precio es así! Un día reír!
Y otro llorar por amarme!
Tendrá el mar la imagen de quién lo atraviesa? Tendrá el mar… !
Tendrá acaso el mar sonidos que sólo él recuerda?
Sabrá del dolor de quienes su vida en él dejan?
Tan inmenso, y tan sólo él está!
Podrá compartir con alguien de tanta riqueza?
A quién contará secretos que guardan sus penas?
Lo mismo cantar a dúo con una sirena!
Tan inmenso, y tan sólo él está!
Tan inmenso y tan sólo, tan sólo él está!
martes, 10 de febrero de 2009
L'hymne a l'amour - Edith Piaf
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour inond'ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour puisque tu m'aimes
J'irais jusqu'au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J'irais décrocher la lune
J'irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n'importe quoi
Si tu me le demandais
Si un jour la vie t'arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m'importe si tu m'aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu'on s'aime
Dieu réunit ceux qui s'aiment
Et la terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour inond'ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour puisque tu m'aimes
J'irais jusqu'au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J'irais décrocher la lune
J'irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n'importe quoi
Si tu me le demandais
Si un jour la vie t'arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m'importe si tu m'aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu'on s'aime
Dieu réunit ceux qui s'aiment
domingo, 8 de febrero de 2009
Edith Piaf
Edith Piaf nace debajo de una farola frente al número 72 de la rue de Belleville en París, de padre acróbata, Louis Alphonse Gassion (nacido en Castillon en la región de Calvados en Normandía el 10 de mayo de 1881) y de madre cantante ambulante, Annetta Maillard (1895-1945), de origen italo-argelino.
Siendo pequeña, su madre, demasiado pobre como para criarla, la confía a su abuela materna, Aïcha Saïd Ben Mohammed (1876-1930) originaria de Cabilia, quien a su vez la entrega a su padre, a punto éste de ir al frente en la Primera Guerra Mundial. Él la deja con su abuela paterna (que regenta una casa de prostitución en Bernay, Normandía) donde Édith es criada por las prostitutas de la casa.
Al finalizar la Primera Guerra Mundial, su padre vuelve del frente y la lleva consigo a vivir la vida de los artistas de los pequeños circos itinerantes, y luego la del artista ambulante, independiente y miserable. Édith revela su talento y su excepcional voz en las canciones populares que canta en las calles junto a su padre, tal como su madre lo hacía.
En 1933, a los 17 años, tiene una hija con su amante Louis Dupont, llamada Marcelle, que desgraciadamente muere de meningitis a los dos años de edad, en 1935.
Su autobiografía se titula Au bal du chance.
Siendo pequeña, su madre, demasiado pobre como para criarla, la confía a su abuela materna, Aïcha Saïd Ben Mohammed (1876-1930) originaria de Cabilia, quien a su vez la entrega a su padre, a punto éste de ir al frente en la Primera Guerra Mundial. Él la deja con su abuela paterna (que regenta una casa de prostitución en Bernay, Normandía) donde Édith es criada por las prostitutas de la casa.
Al finalizar la Primera Guerra Mundial, su padre vuelve del frente y la lleva consigo a vivir la vida de los artistas de los pequeños circos itinerantes, y luego la del artista ambulante, independiente y miserable. Édith revela su talento y su excepcional voz en las canciones populares que canta en las calles junto a su padre, tal como su madre lo hacía.
En 1933, a los 17 años, tiene una hija con su amante Louis Dupont, llamada Marcelle, que desgraciadamente muere de meningitis a los dos años de edad, en 1935.
Su autobiografía se titula Au bal du chance.
En 1935, es descubierta en la calle por Louis Leplée, gerente de un cabaret de moda, el Gerny's, situado en la Avenida de los Campos Elíseos. La invita a presentarse con el nombre artístico de la niña Gorrión ("la Môme Piaf") debido a que era de pequeña estatura (1.47 m) como un gorrión. Sus presentaciones fueron todo un éxito, y su talento y su voz extraordinarios son destacados, entre otros, por el compositor Raymond Asso y su futura fiel amiga Marguerite Monnot, compositora y pianista virtuosa, quien la acompañará durante toda su carrera y compondrá para ella la música de Mon légionnaire, Hymne à l'amour, Milord (canción) y Amants d'un jour.
Firma un contrato con Polydor y graba su primer disco en 1936: les Mômes de la cloche ("los niños de la campana"; cloche, en argot, es el nombre genérico de los mendigos parisinos). Ello la convierte en un éxito mediático de forma inmediata. Pero en abril de ese año Louis Leplée es asesinado en su domicilio. Esto revela que él formaba parte de los bajos fondos del barrio parisino de Pigalle, lo que precipita a Édith al centro del escándalo y el linchamiento mediático, y la envía nuevamente al lugar de donde vino: la calle y los pequeños cabarets miserables.
Vuelve a tomar contacto con el compositor Raymond Asso (autor de Mon légionnaire y Le Fanion de la Légion, creadas por Marie Dubas en 1935, que Piaf retoma a inicios de 1937). Asso se convierte en su Pygmalion y amante, y la prepara para ser una cantante profesional del Music-Hall.
Firma un contrato con Polydor y graba su primer disco en 1936: les Mômes de la cloche ("los niños de la campana"; cloche, en argot, es el nombre genérico de los mendigos parisinos). Ello la convierte en un éxito mediático de forma inmediata. Pero en abril de ese año Louis Leplée es asesinado en su domicilio. Esto revela que él formaba parte de los bajos fondos del barrio parisino de Pigalle, lo que precipita a Édith al centro del escándalo y el linchamiento mediático, y la envía nuevamente al lugar de donde vino: la calle y los pequeños cabarets miserables.
Vuelve a tomar contacto con el compositor Raymond Asso (autor de Mon légionnaire y Le Fanion de la Légion, creadas por Marie Dubas en 1935, que Piaf retoma a inicios de 1937). Asso se convierte en su Pygmalion y amante, y la prepara para ser una cantante profesional del Music-Hall.
En marzo de 1937, Édith debuta en el music-hall en el teatro ABC de París. Se convierte inmediatamente en una estrella de la canción francesa, adorada por el público y difundida por la radio.
En 1940 se presenta con éxito en la obra teatral Le Bel Indifférent, que Jean Cocteau escribió para ella. También comienza una carrera cinematográfica con la película Montmartre sur Seine, de Georges Lacombe.
En la primavera de 1944 se presenta en el Moulin Rouge, donde el joven cantante de Music-Hall Yves Montand forma parte importante del espectáculo. Se produce un flechazo entre los dos artistas y Édith Piaf, ya célebre y adulada devoradora de hombres, se propone iniciar a su nuevo amante en los trucos del oficio y de la vida de artista. Lo presenta a las personas más importantes de la época en el mundo del espectáculo: Joseph Kosma, Henri Crolla, Loulou Gasté, Jean Guigo, Henri Contet, Louiguy, Marguerite Monnot, Bob Castella, Francis Lemarque...
Durante la guerra, Edith Piaf cantaba en los clubes y music-halls, en donde conoció a su contemporánea alemana Ilona Hesse, y ayudaba a los prisioneros a escapar. Tras la guerra, en 1945, escribe la letra de La vida en rosa, su canción más célebre, que interpreta en la Comédie-Française.
Yves Montand, por su parte, se convierte en una estrella del music-hall. Montand debuta en el cine junto a Édith Piaf en Étoile sans lumière, para luego obtener su primer papel protagonista en Les portes de la nuit de Marcel Carné. Ambos parten en gira el año 1946, en el cual se separan
En 1940 se presenta con éxito en la obra teatral Le Bel Indifférent, que Jean Cocteau escribió para ella. También comienza una carrera cinematográfica con la película Montmartre sur Seine, de Georges Lacombe.
En la primavera de 1944 se presenta en el Moulin Rouge, donde el joven cantante de Music-Hall Yves Montand forma parte importante del espectáculo. Se produce un flechazo entre los dos artistas y Édith Piaf, ya célebre y adulada devoradora de hombres, se propone iniciar a su nuevo amante en los trucos del oficio y de la vida de artista. Lo presenta a las personas más importantes de la época en el mundo del espectáculo: Joseph Kosma, Henri Crolla, Loulou Gasté, Jean Guigo, Henri Contet, Louiguy, Marguerite Monnot, Bob Castella, Francis Lemarque...
Durante la guerra, Edith Piaf cantaba en los clubes y music-halls, en donde conoció a su contemporánea alemana Ilona Hesse, y ayudaba a los prisioneros a escapar. Tras la guerra, en 1945, escribe la letra de La vida en rosa, su canción más célebre, que interpreta en la Comédie-Française.
Yves Montand, por su parte, se convierte en una estrella del music-hall. Montand debuta en el cine junto a Édith Piaf en Étoile sans lumière, para luego obtener su primer papel protagonista en Les portes de la nuit de Marcel Carné. Ambos parten en gira el año 1946, en el cual se separan
En 1948, mientras está en una gira triunfal por Nueva York, vive la historia de amor más grande de su vida con un boxeador francés de origen argelino, Marcel Cerdan, quien ganó el campeonato mundial de peso medio el 21 de septiembre de 1948 y murió en un accidente de avión el 28 de octubre de 1949 en el vuelo de París a Nueva York en el que viajaba para ir a su encuentro. Abatida por el sufrimiento, Édith Piaf se vuelve adicta a la morfina. Ella cantó su gran éxito Hymne à l'amour en su memoria y, además, este noviazgo originó la película Édith et Marcel.
Aparte del mencionado, son varios los romances de Edith Piaf. Los más conocidos fueron con Marlon Brando, Yves Montand, Charles Aznavour, Théo Sarapo y Georges Moustaki.
En 1951, el joven cantautor Charles Aznavour se convierte en su secretario, asistente, chófer y confidente.
El 29 de julio de 1952 se casa con el célebre cantante francés Jacques Pills, según el testimonio de la actriz Marlene Dietrich. Se divorcian en 1956.
Comienza una historia de amor con Georges Moustaki ("Jo"), a quien Edith lanza a la canción. A su lado tuvo un grave accidente automovilístico el año 1958, lo que empeora su ya deteriorado estado de salud y su dependencia de la morfina.
Aparte del mencionado, son varios los romances de Edith Piaf. Los más conocidos fueron con Marlon Brando, Yves Montand, Charles Aznavour, Théo Sarapo y Georges Moustaki.
En 1951, el joven cantautor Charles Aznavour se convierte en su secretario, asistente, chófer y confidente.
El 29 de julio de 1952 se casa con el célebre cantante francés Jacques Pills, según el testimonio de la actriz Marlene Dietrich. Se divorcian en 1956.
Comienza una historia de amor con Georges Moustaki ("Jo"), a quien Edith lanza a la canción. A su lado tuvo un grave accidente automovilístico el año 1958, lo que empeora su ya deteriorado estado de salud y su dependencia de la morfina.
Edith se convierte también en una especie de icono parisino y en la musa de los existencialistas. En la década de 1950, Piaf era famosa en muchos países. El público norteamericano la consagró en 1956 en el Carnegie Hall de Nueva York, al que regresó con frecuencia, tras iniciar ese mismo año una cura de desintoxicación.
En 1958 graba la canción Milord, que se convertirá en uno de sus enormes éxitos mundiales.
En 1958 graba la canción Milord, que se convertirá en uno de sus enormes éxitos mundiales.
En 1959, Édith se desploma en escena durante una gira en Nueva York. Tuvo que soportar numerosas operaciones quirúrgicas. Volvió a París en un penoso estado de salud.
En 1961, Édith Piaf, a petición de Bruno Coquatrix, ofrece una serie de conciertos, tal vez los más memorables y emotivos de su carrera, en el Olympia de París, local que estaba bajo amenaza de desaparecer por problemas financieros. Es en ése, su salón de espectáculos favorito, en donde interpreta la canción Non, je ne regrette rien, canción que, compuesta para ella por Charles Dumont, se adapta perfectamente a su persona. Con ello salva al Olympia.
A esas alturas, estaba muy enferma para tenerse en pie, y se mueve y canta sólo con importantes dosis de morfina.
El 9 de octubre de 1962, a los 46 años de edad, hastiada, enferma y adicta, se casa con Théo Sarapo, cantante joven y apuesto de 26 años, y declara que tiene la impresión de que es como un hijo que cuida a su anciana madre enferma. Cantan a dúo, entre otras, ¿De qué sirve el amor?.
A principios del año 1963, Édith graba su última canción L'Homme de Berlin.
El 10 de octubre de 1963, Édith Piaf fallece en Plascassier a los 47 años de edad, por causa de la cirrosis. El transporte de sus restos mortales fue organizado de forma clandestina.
Su fallecimiento fue anunciado oficialmente el 11 de octubre, el mismo día en que muere su amigo el cineasta Jean Cocteau. Su entierro tiene lugar en el cementerio Père Lachaise, en París, con el homenaje de una inmensa multitud de admiradores. Charles Aznavour declaró que desde la Segunda Guerra Mundial no se había detenido de esa manera el tráfico de toda la ciudad.
Se dice que Jean Cocteau (con el cual Édith mantenía en ese entonces una asidua correspondencia) fallece al enterarse de su muerte. Pero es posible que ella haya fallecido en realidad un día antes y que adrede se haya cambiado la fecha de su fallecimiento, precisamente para poder confirmar esa versión.
Su último marido, Théo Sarapo, muerto en un accidente automovilístico en 1970, es enterrado con ella en la misma tumba.
De extraordinaria personalidad, Édith Piaf sigue siendo una de las cantantes francesas más conocidas en el mundo. Además, dio a conocer con gran éxito a muchos cantantes franceses.
El Museo Edith Piaf, dedicado a su memoria, se encuentra en la calle Crespin du Gast, en el distrito XI de París.
En 1961, Édith Piaf, a petición de Bruno Coquatrix, ofrece una serie de conciertos, tal vez los más memorables y emotivos de su carrera, en el Olympia de París, local que estaba bajo amenaza de desaparecer por problemas financieros. Es en ése, su salón de espectáculos favorito, en donde interpreta la canción Non, je ne regrette rien, canción que, compuesta para ella por Charles Dumont, se adapta perfectamente a su persona. Con ello salva al Olympia.
A esas alturas, estaba muy enferma para tenerse en pie, y se mueve y canta sólo con importantes dosis de morfina.
El 9 de octubre de 1962, a los 46 años de edad, hastiada, enferma y adicta, se casa con Théo Sarapo, cantante joven y apuesto de 26 años, y declara que tiene la impresión de que es como un hijo que cuida a su anciana madre enferma. Cantan a dúo, entre otras, ¿De qué sirve el amor?.
A principios del año 1963, Édith graba su última canción L'Homme de Berlin.
El 10 de octubre de 1963, Édith Piaf fallece en Plascassier a los 47 años de edad, por causa de la cirrosis. El transporte de sus restos mortales fue organizado de forma clandestina.
Su fallecimiento fue anunciado oficialmente el 11 de octubre, el mismo día en que muere su amigo el cineasta Jean Cocteau. Su entierro tiene lugar en el cementerio Père Lachaise, en París, con el homenaje de una inmensa multitud de admiradores. Charles Aznavour declaró que desde la Segunda Guerra Mundial no se había detenido de esa manera el tráfico de toda la ciudad.
Se dice que Jean Cocteau (con el cual Édith mantenía en ese entonces una asidua correspondencia) fallece al enterarse de su muerte. Pero es posible que ella haya fallecido en realidad un día antes y que adrede se haya cambiado la fecha de su fallecimiento, precisamente para poder confirmar esa versión.
Su último marido, Théo Sarapo, muerto en un accidente automovilístico en 1970, es enterrado con ella en la misma tumba.
De extraordinaria personalidad, Édith Piaf sigue siendo una de las cantantes francesas más conocidas en el mundo. Además, dio a conocer con gran éxito a muchos cantantes franceses.
El Museo Edith Piaf, dedicado a su memoria, se encuentra en la calle Crespin du Gast, en el distrito XI de París.
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